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Psilocybine remède contre le « cluster headache »
Partout dans le monde il y a eu beaucoup de recherches sur l’abus et les effets négatifs des drogues, mais pendant longtemps personne n’a voulu finance des recherches sur ses effets positives sur le cerveau ou sur ses vertus dans le traitement des problèmes psychologiques. Telle est l’opinion de George Greer, fondateur de l’Institut de Recherche Heffter, une organisation scientifique qui organise et finance des recherches sur les substances psychédéliques. En réalité, ces recherches connaissaient bien des réussites avant l’interdiction de ces substances, quand on les a retirés du marché et également des centres de recherches. Dans les dernières années la porte s’est lentement ouverte en faveur des études scientifiques sur les drogues psychédéliques, pour la première fois depuis 1965.
Une conséquence très positive de ce développement sont les résultats concernant une migraine dite « cluster headache ». Ce type de migraine est une variété spécifique des migraines classiques, qui se caractérise par de maux de têtes extrêmement violents et cycliques. La substance psilocybine paraît avoir des effets positifs sur les personnes qui souffrent de cette maladie. Pour ces gens, le traitement n’est pas seulement un remède contre les maux, mais aussi une possibilité de rompre le caractère cyclique de la maladie. Selon les patients il n’existe aucun médicament pareil.
Bob Wold qui s’est débarrassé des migraines cauchemardeuses grâce à la psilocybine a créé une organisation appelée clusterbusters.com. Dans cette organisation il est en contact avec quelque 200 autres personnes qui souffrent de « cluster headache » et qui ont suivi un traitement de psilocybine pour atténuer la douleur. Wold a rassemblé une richesse de données en forme de questionnaires qui seront présentées au comité de recherches de Harvard.
« Je suis très optimiste pour l’avenir » dit le Dr. Charles Grob, chef du département de psychiatrie infantile et adolescente du centre médical de Harbor UCLA. « Je pense que ces substances ont un potentiel énorme dans la médicine et la psychologie. Je suis d’avis qu’il faut les démystifier et d’étudier et établir des paramètres de sécurité. Mais avec un bon contrôle, je crois que nous pouvons les utiliser de façon sûre et efficace. »
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Partout dans le monde il y a eu beaucoup de recherches sur l’abus et les effets négatifs des drogues, mais pendant longtemps personne n’a voulu finance des recherches sur ses effets positives sur le cerveau ou sur ses vertus dans le traitement des problèmes psychologiques. Telle est l’opinion de George Greer, fondateur de l’Institut de Recherche Heffter, une organisation scientifique qui organise et finance des recherches sur les substances psychédéliques. En réalité, ces recherches connaissaient bien des réussites avant l’interdiction de ces substances, quand on les a retirés du marché et également des centres de recherches. Dans les dernières années la porte s’est lentement ouverte en faveur des études scientifiques sur les drogues psychédéliques, pour la première fois depuis 1965.
Une conséquence très positive de ce développement sont les résultats concernant une migraine dite « cluster headache ». Ce type de migraine est une variété spécifique des migraines classiques, qui se caractérise par de maux de têtes extrêmement violents et cycliques. La substance psilocybine paraît avoir des effets positifs sur les personnes qui souffrent de cette maladie. Pour ces gens, le traitement n’est pas seulement un remède contre les maux, mais aussi une possibilité de rompre le caractère cyclique de la maladie. Selon les patients il n’existe aucun médicament pareil.
Bob Wold qui s’est débarrassé des migraines cauchemardeuses grâce à la psilocybine a créé une organisation appelée clusterbusters.com. Dans cette organisation il est en contact avec quelque 200 autres personnes qui souffrent de « cluster headache » et qui ont suivi un traitement de psilocybine pour atténuer la douleur. Wold a rassemblé une richesse de données en forme de questionnaires qui seront présentées au comité de recherches de Harvard.
« Je suis très optimiste pour l’avenir » dit le Dr. Charles Grob, chef du département de psychiatrie infantile et adolescente du centre médical de Harbor UCLA. « Je pense que ces substances ont un potentiel énorme dans la médicine et la psychologie. Je suis d’avis qu’il faut les démystifier et d’étudier et établir des paramètres de sécurité. Mais avec un bon contrôle, je crois que nous pouvons les utiliser de façon sûre et efficace. »
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